On parle de nous

  • 19 février 2020 : Enfin le choix des libraires à la Grande Librairie ! Je l’ai tellement attendu ! Le tournage était vraiment chouette ! presque 4h de présence à 2, Sébastien Durand et un caméraman. Nous avons beaucoup rit ! Francois… Une petite suggestion : vu le temps passé au tournage (plus les 2 jours de montage), vous pourriez doubler la durée… 4 minutes c’est le double pour le libraire et ça ne change rien pour l’émission qui dure 1 heure 30…
  • 23 Aout 2018 : Un magnifique article dans le Parisien suite à leur visite en juillet.. 7 personnes qui a la fin du repas nous annoncent qu’ils sont du Parisien et qu’il y aura un reportage sur les terrasses en août… Génial !
  • Septembre 2017 : Le Mille feuilles a été sélectionné pour être parmi les 500 tables du guide Origine Nature édité par La Martinière et parrainé par Yann Arthus-Bertrand et le vigneron Gérard Bertrand, « 500 tables attentives à la biodiversité, au local et au terroir ». Résultat un article sur le guide  dans le Parisien qui met en avant la façade du Mille Feuilles !
  • On nous montre sur France 5 !Un beau reportage sur France 5 où il est question des agriculteurs du Plateau de Saclay et plus particulièrement de Pierre Bot agriculteur à Vauhallan. Ne manquez les 5 première secondes qui montrent la vue de la Librairie-Restaurant Mille Feuilles puis le plateau-repas mensuel de l’association Terre et cité qui a lieu dans notre restaurant- 2’36 ». Aux murs les très belles photo pola de Marc Dekeister, et enfin l’interview de Thomas Joly filmée sur notre terrasse ! Pas de chance, nous ne sommes pas cités !
  • Un article dans le Parisien pour le Mille Feuilles Sullivan
  • Juin 2015 : Une vidée de L’inauguration du Mille Feuilles Sullivan
  • Il semblerait qu’il existe un lieu similaire au Mille Feuilles à Montrichard dans le Loir et Cher ! Un bel article de Stéphane  Daumay, accompagnateur en librairie.
  • Le Conseil général de l’Essonne a voté l’exonération de la part départementale de la CET. Un article dans le Parisien avec la photo du 17 juin 2011 ! Je n’ai même pas pris une ride en 4 ans 🙂
  • Février 2015 : le blog Resto Connection utilise la photo de la façade du Mille Feuilles réalisée par  Jean-Daniel Lemoine
  • Juin 2014 : Télessonne dans l’émission Secrets d’Essonne un superbe reportage !
  • Avril 2014 : Le guide du Petit futé et le guide en ligne des restaurants bio The Place to Bio
  • L’express Région du 30 avril – Dossier sur le plateau de Saclay « Les amoureux de la nature » ! 201404 lexpress
  • Une vidéo de la télévision slovène sur la Ferme de Favreuse (poulets de Charles Monville) et le Mille Feuilles, double-cliquez sur Parisian Chickens pour voir la vidéo en plein écran
  • Septembre 2013 : Magazine Challenge article challenge Septembre 2013
  • Mars 2013 : Obtention du nouveau Label Ile de France « Produits d’ici, cuisinez ici« .
  • Janvier 2013 – 100% MAG – à voir le reportage sur le recyclage des déchets alimentaires
  •   Septembre 2012 – Le magazine NOUS

Incroyable ! Le mille Feuilles fait la couv ! Bon, ce n’est pas Elle, ni Libé… Mais faut bien commencer 🙂

Nous est le magazine d’un syndicat de CHRD (Cafetiers, Hoteliers, Restaurateurs, discothécaires). En plus pour illuster le dossier « A l’heure des réseaux sociaux », je trouve cela plutôt « à propos » pour une ancienne d’Orange/Wanadoo !

– Septembre 2012 – Le magazine Réussir Essonne

 

Le Mille Feuilles est cité à 2 reprises dans l’article. Hélas, pas de légende sur la photo pour indiquer qu’il s’agit du Mille Feuilles !

– La chambre de commerce de l’Essonne : « La parole est aux commerçants innovants », une petite vidéo d’une interview, en l’occurrence de 3 commerçantes. Le mille-feuilles entre la 5ème et 10ème minute.

http://www.passioncommerce.fr/webtv.php?id_e=b5Vi

– sur le site de l’Essonne, dans les pages sur le développement durable et dans la lettre info du conseil général de l’Essonne

– Le Parisien du lundi 11 juillet 2011 « Balade autour de la peinture et de la photo à Bièvres » – Une sortie à moins de 10 € –

– Le parisien du vendredi 17 juin 2011  » Déjeunez au milieu des livres », merci à Sébastien Morelli pour cette demi-page

– Le site Actu Litté « Essonne, jeudi 5 mai, une librairie qui fait aussi restaurant et salon de thé ou comment mêler les plaisirs de l’esprit et de la table » : http://www.actualitte.com/actualite/25872-bievres-librairie-salon-the-restaurant.htm

– du coup, Telessonne est venu faire un reportage le midi même qui est passé au JT de 18h30 après la 5ème minute : http://www.telessonne.fr/webtv/

Le Républicain du jeudi 21 avril, merci à Jean-Michel Plumet pour sa gentillesse et son article.

– le blog monsaclay.fr, merci à Stanislas pour son passage au Mille Feuilles, l’interview et les encouragements.

Livre-hebdo, avant l’ouverture, ce qui nous a valu quelques visites de professionnels et de futurs professionnels de la librairie. Le concept intrigue ou plaît selon les personnes mais ne laisse pas indifférent !

4 réflexions sur « On parle de nous »

  1. Bonjour, nous sommes venu manger au mille feuilles car nous avions repéré ce petit bijou depuis un moment avec mes amies, et nous avons été très déçues par les plats servis… sincèrement le lieu est tellement agréable, la présentation soignée, l’équipe sympatique, nous nous attendions à beaucoup mieux…la qualité de la cuisine est aussi importante que le reste et nous espérons pouvoir revenir et savourer de meilleurs plats…dans un moment parce que pour l’instant, l’envie n’y est plus…je suis désolée car j’apprécie bcp ce lieu! mais j’espère que ce commentaire pourra vous être utile, je ne pense pas que nous soyons les seules à l’avoir constaté…
    Bonne continuation à vous

    1. Je suis partie de mon emploi d’informaticienne à France Telecom en septembre dernier. J’y ai mis beaucoup d’énergie, beaucoup d’argent et beaucoup de conviction. Je ne suis donc pas ni restauratrice, ni libraire.

      Je cherche à créer un endroit convivial que vous semblez avoir apprécier, et à offrir une cuisine de produits frais, faits maison, bio ou locaux. Nous changeons très souvent de plats presque tous les jours- et cherchons à utiliser nos livres de cuisine. J’ai embauché 2 jeunes cuisiniers. C’est une cuisine sans filet… La carte n’est pas codifiée pour un mois ou une saison, chaque plat n’est pas testé et nous n’utilisons aucun adjuvant qui permet de lier ou conserver ou exhauster le goût…

      Je suppose que vous êtes venus mercredi 27, vous avez dû prendre des gratins de macaronis aux légumes et une grillade d’agneau. Tout était bio, frais mais je conviens que les pâtes (semi-complètes) étaient un peu trop cuites et qu’il y avait trop de carottes et que du coup, cela devait être un peu sec. Ce jour-là, en plus, le four a mal fonctionné (un des rares matériels que je n’ai pas encore changé). Si vous avez pris de l’agneau, celui-ci, comme les navets en botte, était bio. Pour les desserts, le mille-feuilles au chocolat au lait était fait avec une pâte feuilletée végétale bio et une mousse au chocolat au lait faite maison ; le gâteau à l’ananas et à la noix de coco était fait avec de l’ananas frais bio, la glace au curry était faite maison avec du lait frais de la ferme de Viltain. Il est certainement plus facile d’être régulier dans la qualité et la présentation quand les produits sont industriels et sont tout prêts, il n’y a plus qu’à disposer et réchauffer… L’un de mes cuisiniers vient d’une de ces grandes chaines de restaurant offrant une cuisine traditionnelle, pas grand chose n’est fait sur place 😦 C’est un choix. Ce n’est pas le mien. Mais c’est un choix plus difficile, qui coûte beaucoup plus cher en main d’oeuvre et le résultat n’est pas toujours assuré.

      Pour aller plus loin, en tant qu’élue, j’accompagne le restaurant scolaire de ma commune, nous avons la chance d’avoir une cuisine communale, je ne suis pas certaine que nous tenions longtemps face à la réglementation qui se fait de plus en plus draconienne, nous avons eu jusqu’à 2 visites des services vétérinaire dans le même mois. A ce rythme, nous devrons passer par une grande chaine qui fera une cuisine aseptisée dans un laboratoire et certainement très « régulière ». Les emplois évolueront en conséquence, on passera d’un emploi de cuisinier à
      l’exécution de tâches répétitives… C’est à nous, usagers, élus, salariés ou chef d’entreprise de résister ou de nous indigner comme le conseille Stéphane Hessel.

      En conclusion, je suis désolée si l’un de ces plats ne vous a pas plu, je sais que les produits entrant dans leur composition sont de bonne qualité. C’est pour moi un point important, il n’est bien sur pas suffisant et nous veillerons à ne plus refaire cette recette de macaronis et essaierons de changer prochainement le four.

      Mille Feuilles est aussi une librairie et un salon de thé, un des 2 cuisiniers est aussi pâtissier ; je crois d’ailleurs que vous avez dit à Eloise, qui est libraire, avoir apprécié ses gâteaux.

      J’espère donc que vous ferez un autre essai avant de conclure que tous nos plats sont décevants.

  2. je m’immisce un peu mais j’avais besoin de rajouter mon grain de sel. Je suis moi aussi écœurée par ce que deviennent nos assiettes, dans ce monde d’aujourd’hui. On nous sert de plus en plus d’aseptisé, et on est de plus en plus apte à l’accepter. Les dégâts d’une mondialisation ratée, où l’on privilégie la marge au détriment de la qualité et parfois de la santé. Le paradoxe de tout cela est que nous devenons pourtant de plus en plus exigeant, et que la seule manière de répondre à ces exigences est de rentrer dans le système : l’industriel coûte moins cher, gonfle les marges, et présente bien. Bref, on se met à manger partout pareil. Les cartes des restaurants peuvent être photocopiées d’un établissement à un autre… Je trouve ça lamentable, et c’est pour cela que je salue toute initiative (difficile, je sais de quoi je parle) de sortir du système, pour représenter, voire sauver quelques dernières valeurs…
    Pour ce qui est des recettes, effectivement, c’est donc important d’utiliser un maximum de bons ingrédients tant que ça ne coule pas le bilan; tout faire bio n’est peut-être pas une nécessité, acheter local est une belle initiative qui n’est pas toujours possible, mais si déjà l’intention y est, c’est énorme. Pour le reste, faire simple, pas chercher à faire sophistiqué, ça ne récolte que des commentaires frustrés de gens qui mangent en sous-vide sans le savoir…
    Bonne chance!

  3. Bonjour,

    La cantine était bondée aujourd’hui et avec deux collègues nous avons décidé d’aller à Bièvres où sont nos habitudes. Nous discutions en arrivant au rond-point du centre-ville, et nous avons manqué l’entrée du parking. Alors hop, aventuriers que nous sommes, nous nous garons finalement à côté de l’église. Et là, en sortant de la voiture nous tombons nez à nez avec la vitrine de Mille Feuilles. Nous sommes entrés, nous avons déjeuné d’un tajine agneau topinambours et abricots avec une succulente purée de pois chiches. Le crumble ananas pomme était savoureux, un peu sec peut-être ; mais bon cela peut arriver ! Le généreux chocolat chaud sentait le vrai lait avec du cacao dedans.
    Un seul regret : le service est trop rapide ! J’ai bien essayé de m’échapper dans la librairie en attendant les plats mais nous avons été servis en moins de 5 minutes.
    Je me suis vengé en achetant une BD géniale : « Les ignorants », récit d’une initiation croisée entre un viticulteur et un auteur de bandes dessinées, que j’avais tout de même eu le temps de feuilleter avant de retourner à la table pour déguster le tajine.
    Bravo pour votre projet : votre histoire est belle et courageuse, la cuisine agréable et l’accueil très très sympa.
    Je me vengerai à nouveau de tous ces bons traitements en revenant très bientôt.
    Antoine.

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